Juste parce que j’aime bien leurs graphismes



















Juste parce que j’aime bien leurs graphismes



















Détournant mon regard
De ces corps huileux et cramoisis
Je cherche un monde imaginaire
Dans la multitude des grains de sable.

Une poignée de sable
File entre mes doigts
Le temps qui passe
Mes doigts qui tremblent
La plage est longue
Il reste du temps
Je profiterai des derniers grains

Sur le sable meuble, grains mouvants
Sauvage est le flux du vent
Au ras des flots moirés
Le coquillage emporté par la marée
Fait la course aux petites pierres
A cheval sur toutes frontières
Pousse-cailloux
Jeu voyou
Les cabines de plage, nées au 19e siècle pour préserver la pudeur des baigneurs, sont devenues des icônes des stations balnéaires. Elles ont évolué de structures mobiles à des constructions fixes, tout en s’adaptant aux styles locaux. Aujourd’hui, elles allient tradition et modernité, étant parfois détournées pour des usages décoratifs ou pratiques.
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| Noirmoutier (85) le 31 octobre 2009 |
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| Noirmoutier (85) le 31 octobre 2009 |
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| Noirmoutier (85) le 31 octobre 2009 |
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| Noirmoutier (85) le 31 octobre 2009 |

Nos mémoires endurent en elles les traces
Enferment notre cœur d’entraves efficaces
Le soleil s’étend ce soir sans un nuage
Sur la large bande qui borde le rivage
Les algues s’assoupissent sur les grains de sable
Imprimant une marque, une impression ineffaçable
Le flot les emmène au gré de son humeur, de ses caprices
Cédant au premier courant comme des épaves, évocatrices
Ils sont comme un entrelacs qui par ses brins ténus
Nous rappellent les souvenirs familiers, les horizons connus
Alors toute notre relation jaillit en ma mémoire
Je revis ce temps où je ne m’imaginais pas la quiétude illusoire
Je vois alors sur ta joue rose la trace de tes larmes
Un spectacle implacable qui me désarme
Et sur tes lèvres de profonds soupirs
De ceux qui n’ont pas cueilli le parfum des plaisirs.
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| Saint-Valery-sur-Somme (80) le 10 juin 2022 |
Enfin, en 1875, à vingt milles du cap SanRoque, pointe nord-est du Brésil, le commandant de la Pauline, George Drivor, crut apercevoir un énorme serpent enroulé autour d’une baleine contre laquelle il luttait comme fait un boa constrictor. Ce serpent, dont la couleur était celle du congre, devait avoir de cent soixante à cent soixante-dix pieds de longueur. Il jouait avec sa proie et finit par l’entraîner dans les profondeurs de la mer.